Frédérique III empereur d'Allemagne
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Fredericus III empereur de Rome, toujours Auguste Ce qu'en dit Wikipedia : Frédéric III du Saint-Empire, à l'origine Frédéric V de Habsbourg, né le 21 septembre 1415 à Innsbruck (comté de Tyrol) et mort le 19 août 1493 à Linz (archiduché d'Autriche), fils du duc Ernest d'Autriche, prince de la maison de Habsbourg, reçoit en héritage les fiefs d'Autriche intérieure (duché de Styrie, duché de Carinthie et duché de Carniole) à la mort de son père en 1424 et devient archiduc d'Autriche en 1457 à la mort de son cousin Ladislas de Bohême. Suite sur Wikipédia Gravure provenant d'un recueil de 88 gravures Texte ci-dessous extrait de la Biographie universelle des hommes qui se sont fait un nom de F.X. Feller. - 1860 FRÉDÉRIC IV (ou III, selon quelques-uns, qui ne mettent pas Frédéric III au nombre des empereurs), dit le Pacifique, né en 1415 d’Ernest, duc d’Autriche, monta sur le trône impérial en 1440, à 25 ans, et fut couronné à Rome en 1452, de la main du pape Nicolas V. Par le serment qu’il prêta à ce Pontife, il promit de n’exercer dans Rome aucun acte de souverain, sans son consentement. Le couronnement de Frédéric est le dernier qui ait été fait à Rome, et fut un des moins éclatants. Eléonore de Portugal, qu’il avait demandée en mariage, se rendit à Rome, et y fut couronnée impératrice en même temps que son époux. Frédéric ne voulait pas d'abord consommer le mariage en Italie, de peur que l’enfant qui en naîtrait n'eût les mœurs italiennes. Il fallut qu’Alphonse, aïeul de sa femme, roi d’Aragon et de Naples, l’y engageât. L’empereur, de retour en Allemagne, s’abandonna à son humeur trop pacifique, et, pour mieux dire, insouciante ; il en résulta des guerres civiles. Les électeurs, assemblés à Francfort, le sommèrent de s'appliquer aux affaires de l'État, de rétablir la paix publique, de faire administrer la justice et de punir le crime. On le menaça d’élire un roi des Romains, qui aurait le gouvernement de l’empire. Ces menaces furent inutiles. Matthias envahit l'Autriche, prit Vienne, en chassa l’empereur, qui, avec une suite de 80 personnes, se mit à se promener de couvent en couvent, en attendant que son vainqueur fût mort. Il répétait sans cesse ces paroles, qui doivent être dans le cœur d’un philosophe, mais non dans celui d’un monarque : « L'oubli des biens qu’on ne peut recouvrer est la félicité suprême. » |
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