Buratine, ou Buratin Espèce de papeline dont la chaîne est de soie fort déliée, la trame de grosse laine. On la passe sous la calandre.
(Dic. Furetière, 1690)
Buratine, ou Buratin. Espèce de papeline, dont la chaîne est de soie fort déliée, et la trame de grosse laine ; on la passe sous la calandre.
Il faut que ce terme, ainsi rapporté par Furetière, soit ancien, hors d'usage, ou étranger, n’en étant point parlé dans le Tarif de 1664, pour les droits d’entrée et de sortie de toutes sortes de marchandises ; ni dans les Statuts et Règlements qui ont été faits en 1667 touchant la fabrique des draps, or, argent, et soie, et autres étoffes mélangées, qui se font à Paris, à Lyon, et à Tours, et encore moins dans le Règlement général des Manufactures du mois d’Août 1669 ; outre que les Marchands, Manufacturiers, et Ouvriers, n’en ont aucune connaissance.
(Dic. Universel du Commerce, Savary, 1748)
Buratines. Soies Buratines. Ce sont des soies, que l’on tire de Perse, par la soie de Seyde. Elles se pèsent au damasquin de six cent dragmes, qui reviennent à quatre livres onze onces de Marseille.
(Dic. Universel du Commerce, Savary, 1748)
Terme décrivant les tissus utilisés pour l'habillement
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Le terme ci-dessus est l'un de ceux utilisé pour décrire, le cas échéant, le costume du personnage en illustration, provenant de l'ouvrage :
'Costumes français depuis Clovis jusqu'à nos jours', publié par A. Mifliez en 1855.
