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La cotte-hardie, qui a été longtemps l’habillement des dames françaises et qui était commune aux hommes et aux femmes, était une tunique longue, descendant jusqu’aux talons, et serrée d’une ceinture, cachant bien la gorge et fermée aux poignets. Les reines, les princesses et les dames y ajoutaient un long manteau doublé d’hermine ou une tunique avec ou sans manche. Cotte hardie : Lorsque l’empereur Charles IV, de la maison de Luxembourg, vint à Paris en 1377, il était vêtu d’une de ces cottes hardies, et par-dessus il portait un manteau d’écarlate doublé d’hermine. Dans les présents que le roi de France fit à cet empereur, il lui donna « un chapel ou chaperon garni de pierres précieuses, un frontier et une coiffe, vingt couronnes, des boutons et des boutonnières d’or et de perles ; pour mantel, une robe d’écarlate, un mantel de même, un surcot d’étoffe de soie, un chaperon de velours fourré d’hermine et un autre chaperon de subatis (satin) fourré de vair. » Ce détail nous apprend quels étaient les noms des habillements de ce temps-là.
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Le terme ci-dessus est l'un de ceux utilisé pour décrire, le cas échéant, le costume du personnage en illustration, provenant de l'ouvrage : |
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