gravure et texte extrait de
History of Madeira - 1821 (de ma bibliothèque)
Madère était alors sous domination britanique
Traduction faite à partir de traduction automatique, retravaillée,
mais sans le texte en vers.(voir le texte en anglais)
Le paragraphe sur les costumes
est de l'auteur du site
La pêche à Madère
La côte de Madère est riche en produits de ses eaux. L'abondance, la variété et l'excellence des poissons, qui sont quotidiens, et même dit-on quasiment toutes les heures, sont parmi les bénédictions dont les habitants de cette île sont favorisés.
Comme la religion pratiquée n'est pas seulement exclusivement, mais de manière rigide, catholique romaine, l'abstinence fréquente de la viande en tant que rite religieux, et l'application conséquente au poisson, comme la seule nourriture permise pendant leurs nombreux jours de jeûne et saisons de l'abstinence, fait de la mer un réservoir essentiel de leur subsistance.
La demande est donc grande et l'offre est pleinement et à tout moment égale à cette demande.
Les rivières sont si rapides dans leur écoulement, et si interrompues par les chutes d'eau, que l'anguille est le seul poisson récompensant la quête du pêcheur de l'intérieur des terres.
Funchal a un marché aux poissons régulier, qui est approvisionné au moins trois fois par jour; et quelques heures seulement interviennent entre le transfert du produit de la mer à la table dont c'est une denrée essentielle.
Cette commodité découle, dans une large mesure, du fait que le port est principalement le théâtre du travail du pêcheur, qui y est si généralement et si largement récompensé, qu'il est rare que sa pêche soit vendue ailleurs.
Tel semble être le plan du souverain,
La nature est la servante de l'homme.
Tout ce qu'il lui est donné de produire
Est pour son usage universel :
Tout ce qu'il veut, elle peut le fournir
Ou à son art ou à son industrie.
Elle n'est pas liée par le temps,
Ni par les soleils éloignés ou les climats variés ;
Sa voix obéit à chaque élément,
Et tous les éléments combinés font osciller son plaisir.
N'est-ce pas par son ordre
Que les récoltes jaunes embellissent la terre ?
La vague argentée, l'inondation saumâtre,
L'air peuplé, la forêt enceinte,
Le pâturage riche, la plaine verdoyante,
Tous possèdent de la même manière son règne généreux.
N'a-t-elle pas donné au travail de l'homme
Les fruits de tous les sols ?
Même au milieu des neiges de la montagne alpine,
Là où les torrents grondent et les tempêtes soufflent,
Même là, sa bonté s'arrangera
Pour faire sourire et vivre l'indigène ;
Elle fera taire dans son cœur toute alarme brutale,
Et lui donner la fourrure qui le réchauffe.
Mais dans cette île si favorisée
Toute l'abondance attend son sourire ;
Et ajoute le raisin, qui donne du piquant,
Par son jus riche, à tout le reste.
Translated with DeepL
Les costumes :
Nous voyons dans cette gravure un pêcheur à la ligne dont les habits, le chapeau, les souliers, son foulard à pois et le tonneau (de vin ?) fait penser qu’il s’agit d’un des habitants aisés de l’île.
L’autre personnage, qui porte une planche avec 6 poissons qui ressemblent à des soles, est lui, pieds-nu, avec le classique pantalon de coton blanc et une ample blouse de teinte unie, typique des travailleurs manuels de l'île, à cette époque
Comme ils avancent sur un chemin de terre, à l’intérieur de l’île, on peut penser qu’il s’agit de pêcheurs de rivière.
... Mais en ce cas, ce sont des anguilles qui devraient être portée sur la planche.
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