gravure et texte extrait de
History of Madeira - 1821 (de ma bibliothèque)
Madère était alors sous domination britanique
Traduction faite à partir de traduction automatique, retravaillée,
mais sans le texte en vers.(voir le texte en anglais)
Le paragraphe sur les costumes
est de l'auteur du site
Transport du vin en ville quand il est clair
Une fois le vin pressé à partir du raisin, il peut rester un certain temps dans un état de fermentation, et lorsqu’il est clair, il est transporté en ville en fûts, transporté par de petits poneys, une race de chevaux particulière à l’île de Madère.
De la même manière, ils transportent des sacs de riz, de farine et de bagages, de toutes sortes, de la ville à la campagne. Ces petits chevaux sont également remarquables pour leur force et leur docilité, étant parfaitement adaptés à toutes les diverses utilisations auxquelles ils sont appliqués.
En effet, c’est une faculté singulière qu’ils acquièrent, de poursuivre le même rythme dans l’ascension ou la descente des collines, sur lesquelles leurs voyages les obligent à passer. Ils vivent jusqu’à un grand âge, mais que ce soit à cause de leur caractère indigène, de leur maigre subsistance ou de leur travail acharné, on ne les voit jamais atteindre leur pleine maturité qui est l’apparence générale du même animal en Angleterre.
Les habitants sont partisans de la race anglaise des chevaux, pour laquelle ils sont connus pour donner de grands prix. Ils ont aussi des chevaux américains qui s’adaptent très facilement aux routes du pays.
A MADEIRA.
Combien de fois ton jus, île bienveillante,
A fait sourire le cœur du Britannique !
Combien de fois le flot de ta vigne
S'est révélé un remède cordial !
Et, après avoir parcouru les mers,
Donne de l'aisance à l'estomac défaillant.
Et ne verrons-nous pas avec plaisir
L'évolution de l'art et de l'industrie,
Qui prépare un tel breuvage
Pour partager le luxe britannique ?
Avec tout ce dont l'île britannique peut s'enorgueillir,
elle a perdu l'inspiration de Bacchus ;
Qui ne lui donne rien pour la rendre joyeuse,
Que du jus de pomme et du poiré pétillant ;
Ni de ces mélanges pour se régaler,
Ces liquides abrutissants, la bière et l'ale,
L'invention des Goths, et jamais connue
Par ceux qui vivent près de l'Hélicon.
Combien de fois ton jus, île bienveillante,
A fait sourire le cœur d'un Britannique ;
Car c'est vers toi, et vers des climats comme les tiens,
Que les fils de l'Angleterre doivent chercher du vin
Le costume :
Le personnage porte les habits traditionnels des paysans de l'époque : pantalon blanc serré sur les mollets, chemise blanche et petite jaquette, et le bonnet conique sur la tête. Ses bottes en cuir aux bords rabattus, sont classiques de la région de Madère vers 1820.
On distingue mal ce qu'il porte à la hanche du côté droit.
Le cheval est attaché un anneau de fer cimenté dans le mur, tel qu'on en voit encore quelquefois dans tous les villages d'Europe.
On peut espérer, pour le cheval, qu'il n'y a pas d'autres tonnelets de l'autre côté. Tels qu'ils sont représentés ici, ils doivent déjà peser plus de 200 Kg !