gravure et texte extrait de
History of Madeira - 1821 (de ma bibliothèque)
Madère était alors sous domination britanique
Traduction faite à partir de traduction automatique, retravaillée,
mais sans le texte en vers.(voir le texte en anglais)
Le paragraphe sur les costumes
est de l'auteur du site
Musiciens itinérants
On peut naturellement s’attendre à la présence de musiciens itinérants, dans un pays où l'amour de la musique et sa pratique sont universels, qu’il s’agisse des classes les plus opulentes aux plus basses.
Ces musiciens itinérants assistent aux fêtes religieuses et aux divertissements privés de la capitale, tout en divertissant aussi bien le public le plus humble des villages. En effet, lorsqu'ils voyagent d'un bout à l'autre de l'île, ils animent occasionnellement chaque événement et ravissent l’ensemble des habitants.
Au chant et à la pratique d'un instrument ils ajoutent la danse. Ils excellent aussi dans les compositions improvisées. Leur musique est adaptée à l’occasion ; et leur danse n’est pas dépourvue de grâce, mais lente dans ses mouvements.
Leur occupation est de procurer du plaisir aux autres ; mais, comme ils sont en mouvement continuel, et jamais stationnaire, leur vie n’est pas une vie de travail commun. En général, Ils dorment et mangent peu : mais, bien qu’ils soutiennent leur fatigue principalement en buvant, ils ne vont jamais jusqu’à l’excès.
Qu'ils ont l'air joyeux, qu'ils sont vifs et gais !
C'est ainsi qu'ils chantent leur vie :
Au moins, tout le monde est d'accord sur ce point
On les entend vivre en harmonie.
Tandis qu'avec leur chant et leur mesure gracieuse
Ils s'efforcent de donner du plaisir aux autres,
Et chacun gagne son morceau quotidien,
Grâce à des sons agréables et à des airs séduisants,
Pour accueillir la gaieté et bannir la douleur.
Bien qu'ils réussissent à s'amuser,
Ce n'est qu'une vie laborieuse qu'ils mènent ;
Et c'est ainsi que le bien se mêle au mal,
Car ils doivent chanter même s'ils sont tristes ;
Et même si les maux les assaillent,
Ils doivent jouer le rôle de la joie :
Quel que soit leur malheur,
Même s'ils ont mal aux pieds, ils doivent danser.
C'est ainsi qu'ils s'acquittent de leur tâche,
Ils vivent en ne restant jamais immobiles ;
Et c'est leur lot dans ce monde
D'avoir rarement la langue bien pendue.
Bien qu'ils obtiennent la récompense qui leur est due,
Ces ménestrels ambulants travaillent dur ;
Mais ils possèdent ce confort,
Et c'est une source de bonheur,
C'est que, dans leurs voyages à droite et à gauche,
Ils transportent la gaieté partout où ils vont.
Translated with DeepL
Les costumes :
Voici trois musiciens, deux guitares et un violon. Le musicien au violon est le mieux habillé, avec son chapeau, sa chemise rayée et sa veste à queue de pie. Les deux guitaristes portent chacun le petit bonnet pointu de Madère, et une petite veste courte.
Tous les trois sont munis de bottes de cuir, et ont autour du cou une cravate-ficelle.
À noter la chevelure longue et très fournie du violoncelleux.