gravure et texte extrait de
History of Madeira - 1821 (de ma bibliothèque)
Madère était alors sous domination britanique
Traduction faite à partir de traduction automatique, retravaillée,
mais sans le texte en vers.(voir le texte en anglais)
Le paragraphe sur les costumes
est de l'auteur du site
Apparence particulière des habitants
de la partie occidentale de l'île
IL y a une différence manifeste entre les natifs du sud et de l'ouest de l'île de Madère. Il n'est pas nécessaire de tenter une enquête philosophique sur les causes de cette variété. Il suffit que ces pages indiquent simplement son existence.
Ceux de la partie occidentale revendiquent, comme ils le possèdent en effet, une supériorité décisive sur ceux de la partie sud de l'île.
Leurs manières et habitudes sont plus simples et naturelles; leurs visages présentent une proportion plus régulière, et leur peau un teint plus fin.
On les décrits aussi comme remarquables pour la luminosité de leurs yeux, la croissance de leurs cheveux et la beauté de leurs dents.
Ils vont souvent pieds nus; mais quand leurs pieds sont vêtus, ils portent des bottes en peau de chèvre, qui sont légères et durables, et étant blanches, ont une jolie apparence. L'ensemble des vêtements des deux sexes a un caractère pittoresque, tant par la forme que par la variété des couleurs.
Pour leurs tissus, les porteurs sont uniquement redevables de leur propre fabrication domestique, dans laquelle les mains féminines sont plus particulièrement employées.
La beauté est une chose que l'on ne pourra jamais revendiquer
L'attention sur son nom même,
Et, quelle que soit la forme qu'on lui donne,
Sera, comme elle l'a toujours été,
Un charme pour l'œil admiratif
Dans toute sa vaste variété.
Que ce soit à l'état sauvage, à l'état natif,
ou vivante ou inanimée ;
Qu'elle apparaisse dans les vallées,
Ou que la montagne rude et rocailleuse se dresse ;
Que les rivières de cristal coulent
A travers les prairies verdoyantes, ou du front
D'une haute falaise, les torrents se déversent,
Dans l'écume et le grondement incessant :
Ou bien quand l'art le plus beau se montre à l'aide,
Et que l'imposante demeure s'élève
Pour enrichir le paysage serein,
Et de nouvelles formes ornent la scène.
Mais combien est supérieur le charme
Qui provient de la nature vivante et chaleureuse,
Et qui, dans ses différentes échelles de sens,
Qui rayonne de l'intelligence de l'esprit,
Qu'il étincelle de l'œil,
Ou qu'il sourit entre deux rangées d'ivoire ;
Ou quand les tresses indigènes s'épanouissent
En boucles qui descendent le long du cou,
Et qu'elle honore une forme qui commande
Les souhaits de la main du sculpteur.
Telles sont les beautés qui donnent
Un élan au cœur qui s'enflamme,
Que ce soit dans des robes de cour,
Ou à l'ombre de la campagne,
Sous les traits d'un jeune berger ou d'une jeune fille rustique.
Translated with DeepL
Les costumes :
La comparaison de tenues entre ces deux couples de paysans n’est pas grande, sauf effectivement, comme dit le texte, par rapport à la richesse des vêtements.
Les habitants de l’Ouest portent en effet tous les deux le tissu rayé traditionnel de Madère, et l’homme a une veste en plus, et non une simple chemise. Sa femme, si elle marche aussi à pieds nus, comme l’autre, tient dans sa main droite ses chaussures.
Ce sont les seules différences notables, si ce n’est que ceux de l’Ouest semblent plutôt élever du bétail (canards et agneau).
.