gravure et texte extrait de
History of Madeira - 1821 (de ma bibliothèque)
Madère était alors sous domination britanique
Traduction faite à partir de traduction automatique, retravaillée,
mais sans le texte en vers.(voir le texte en anglais)
Le paragraphe sur les costumes
est de l'auteur du site
Paysans dans leur attitudes habituelles
Cette représentation offre une idée très agréable de l'état de la vie modeste et rurale à Madère, illustration qui pourrait presque servir à une scène en Arcadie, grâce à un léger ajout de fantaisie,.
La musique, partout où elle est exercée avec n'importe quel degré de compétence, donne un certain poli aux postes de vie les plus simples.
Les paysans de cette île, presque sans exception, jouent de la guitare ou d'un instrument à cordes de construction similaire. Ils chantent toujours à leur travail, et composent généralement, au fur et à mesure, les paroles de la musique, possédant, semble-t-il, les mêmes facultés d'improvisation que les italiens. Certaines de leurs chansons sont remarquables par une charmante simplicité ; tandis que leurs airs nationaux affichent un esprit peu commun et une animation appropriée.
Quand on voit l'Arcadie briller
Dans l'art du peintre ou le vers du poète,
Nous voyons combien la scène reçoit
De ce que l'air de la musique donne.
Le pipeau du berger, la chanson rurale,
Qui fait résonner les rochers et les bois entre eux,
Qu'il apaise l'heure qui passe,
Ou qu'elle raconte le pouvoir impérieux de l'amour ;
La musique emploie ses notes,
Pour atténuer les soucis ou augmenter la joie.
Telles étaient les tendres paroles du berger,
Que les poètes racontent, d'autrefois :
En d'autres termes, en vers plus humbles,
Nous répétons la musique de l'île.
Ici, tandis que le paysan frappe les cordes,
Sous ses ombres vertes, ou près de ses sources,
Et chante ses propres fantaisies mesurées,
On voit le travail lui-même sourire,
Et se moquer des heures de labeur.
À la porte de la maison ou sous l'arbre,
Les sons de la musique rurale,
A l'heure du soir, saluent l'oreille :
L'étranger qui passe s'arrête pour écouter ;
Et le ressent comme une bénédiction,
L'indulgent bienfait du ciel généreux,
De la nature, laïque et non étudiée,
Pour encourager le travailleur sur son chemin ;
Qui sent que, même si le chemin est long,
Il est toujours raccourci par une chanson.
Translated with DeepL
Les costumes :
Le fait que ce couple est tout de blanc vêtu indique bien leur condition modeste. Ils sont cependant tous les deux chaussés alors que l’on voit régulièrement sur ces gravures les paysans pied-nu.
La jeune femme porte tout de même un collier et une coiffure avec un léger voile. Ils portent tous les deux le couvre-chef traditionnel en pointe.
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