gravure et texte extrait de
History of Madeira - 1821 (de ma bibliothèque)
Madère était alors sous domination britanique
Traduction faite à partir de traduction automatique, retravaillée,
mais sans le texte en vers.(voir le texte en anglais)
Le paragraphe sur les costumes
est de l'auteur du site
Couple de paysans en route pour le Marché
Il n’y a que les voyageurs indolents qui négligent les occupations locales et les mœurs indigènes des habitants de n'importe quel pays, tout en se précipitant d'une grande ville à l'autre, sans s’informer des particularités de chaque lieu ce qui pourrait leur permettre de comprendre la nature humaine sous ses diverses formes et conditions.
La principale ville de Madère, comme toutes les autres du même caractère, doit être approvisionnée par la plupart des articles essentiels de la vie du pays, et le paysan ouvrier en est le porteur.
L'une des singularités dans le travail du paysan de Madère semble consister en cette usage de la tête, à laquelle il est habitué dès ses premières années, sans la moindre assistance des épaules, partie du corps qui semble cependant physiquement mieux adapté pour supporter des charges, épaules qui, dans d’autres pays, sont généralement utilisés pour supporter les marchandises.
Le charbon a récemment été introduit dans cette île, mais en quantités si modérées, que le bois continue d'être le combustible général et est amené du pays de la manière particulière que représente la gravure.
En effet, étant produit dans les régions montagneuses, la distance à partir de laquelle il est amené en fait naturellement un article coûteux de l'économie nationale. Les femmes ne participent pas à ce travail ; mais les charges plus légères de fruits et légumes, pour approvisionner les marchés, sont cependant supportées par elles de la même manière.
Où est la Muse, dont le but audacieux,
S'efforcerait de chanter le corps humain ?
Pas une humble souche comme la mienne,
Ne pourrait combiner toutes ses parties,
Pourrait répéter un thème aussi ardu
Qui dédaignerait mon humble vers.
La beauté d'Apollon exigerait,
La lyre d'Apollon pour ses louanges.
Une force herculéenne exige l'aide
D'un barde audacieux, dont les doigts posent
Sur la harpe à la tonalité profonde, la corde nerveuse
Pourrait chanter son stupéfiant sujet :
Mais moi, humblement, en tintinnabulant,
Je ne peux que chanter les douleurs du paysan,
Par lesquelles il gagne son pain quotidien ;
Je ne peux que marquer le pas du paysan,
Avec le grossier fardeau qui pèse sur sa tête ;
Et tandis que la femme est obligée de porter
La coiffe que le travail lui impose ;
Je laisse ses pas se déplacer dans le temps,
Au rythme de ses propres notes et de ses rimes simples.
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Les costumes : La femme est pieds-nus et est habillée de façon très semblabe à la gravure précédente : longue jupe unie bleue, corset lacé. Elle a en plus un châle sur l'épaule et un léger foulard sur la tête lui permettant de porter sa botte d'oignons sans trop de peine.
Le mari, tout en blanc, légère chemise et pantalon bouffant, a lui des bottes et un genre de bonnet ou gros tissu pour lui permettre de porter sans douleur son chargement de bois