gravure et texte extrait de
History of Madeira - 1821 (de ma bibliothèque)
Madère était alors sous domination britanique
Traduction faite à partir de traduction automatique, Deepl,
(voir le texte en anglais)
Le paragraphe sur les costumes
est de l'auteur du site
Un frère de l'ordre de Saint François collectant des dons pour son couvent
.
Il s'agit de l'un des ordres de Saint-François, qui, de par la nature de leur établissement, sont tous mendiants, n'étant pas autorisés à posséder de biens en dehors des murs de leur cloître. La communauté, qui est nombreuse, est entièrement soutenue par des contributions charitables.
Il existe trois branches de l'institution principale de Funchal qui sont installées dans différentes parties de l'île, afin de collecter des aides auprès des habitants de la campagne, notamment au moment de la vendange.
La charité ainsi obtenue consiste généralement en une miche de pain, ou autre article de subsistance, avec une petite pièce d'argent, pour laquelle le frère mendiant rend sa sainte bénédiction. Aucun lieu n'échappe à leur sollicitation, qui prend une forme différente, selon le caractère de ceux à qui s'adresse le demandeur mendiant.
Les lieux de rafraîchissement sont très nombreux dans les différentes parties de la ville comme de la campagne, où des étals présentent à la vente du pain, des fruits et du vin, comme représenté sur la gravure. Ceux-ci n'échappent jamais à la demande du frère et ne manquent jamais d'enrichir le contenu du sac conventuel.
À LA CHARITÉ.
Samaritain toujours bienheureux,
Que ta bonté envers l'homme est grande !
Que de bénédictions, bel enfant du ciel,
Est donné par ton pouvoir aux mortels.
Là où coulent les océans sans limites ;
Là où les vents sont appelés à souffler,
Tes sourires réconfortent le visage du chagrin
Ta main essuie la larme qui coule !
Il n'est pas de climat qui ne sente ton rayon lumineux ;
Aucun rivage ne connaît ton jour ensoleillé ;
Il n'y a pas non plus de souffrance connue
Que la charité oublie de reconnaître !
Et la religion demandera-t-elle en vain
De soutenir ses rites, ses autels ?
Ah non ! les meilleurs retours sont faits,
Lorsque par une prière le bienfait est rendu ;
Quand des mains saintes saluent la joue,
A la fois si rose, si rebondie et si lisse.
Ainsi, comme nous le voyons, en différents lieux,
La dévotion prend des visages différents :
Mais toujours, quelle que soit la manière dont elle est recherchée ou courtisée,
La bonté distribuera le sort du bien.
Translated with DeepL
Les costumes :
Le demandeur mendiant n'a pas l'air d'être vraiment dans le besoin avec son énorme ventre que cache en partie son ample soutane noire. il est en sandales, comme il se doit, et porte une besace de tissu blanc pour recueillir les 'dons' tel ce pain que donne cette fermière en grande robe blanche à fleurs multicolores, et qui reçoit pour sa charité, une caresse tellement religieuse...